Journal d'un Vampire
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 Faites que ça s'arrête| pv Stefan

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Ever Connens
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Ever Connens


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Date d'inscription : 26/11/2009

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MessageSujet: Faites que ça s'arrête| pv Stefan   Faites que ça s'arrête| pv Stefan Icon_minitimeLun 14 Déc - 23:17

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«Faites que ça s’arrête; »


Quinze minutes… Je n’avais plus que quinze minutes à tenir… C’était insupportable. Deux heures de lettres, deux heures assise à la même place, deux heures assise à coté de lui, mais surtout, deux heures dans la même pièce qu’elles ! J’avais le plus grand mal à ne pas le regarder, mais je devais m’y tenir, sinon je ne résisterais pas. Ce qu’il se passait ? Laissais-moi vous expliquer…

On était le jeudi après midi, un jeudi habituel jusqu’à preuve du contraire. Les même gens, les même cours. Tout était identique excepté le faite que je n’avais pas dormis de la nuit. Ma tante, chez qui je vivais, avait ramené un compagnon… Eux n’avaient pas dormis de la nuit, moi non plus. Allongée dans mon lit, j’avais cru devenir folle, étant bouillante comme une malade. J’aurai bien alors prit une douche froide, mais à deux heures du matin, je savais que ca ne serait pas passé inaperçue, alors, souffrant en silence, j’ai attendue que la nuit passe, faisant mon possible pour ne pas faire de bruit, même si alors, j’avais eu envie d’hurler plus d’une fois. Au petit matin donc, j’arborais des cernes que j’ai tenté de caché tant bien que mal avec du maquillage. Ma tante ne dit rien, mais je vis bien son regard. Pour le reste tout fut normal… J’eu la voiture pour aller en cours, et là, tout recommença comme chaque matin. La foule, le monde… et tous leurs sentiments… Etant fatiguée, c’était plutôt dure à endurer, mais malgré cela, par exemple, le repas à la cafétéria fut plutôt supportable, même si je ne suis pas restait longtemps. Mais voilà, le cours de lettres de l’après midi ne fut pas aussi doux que le reste. La raison principale ? Une personne… Il était nouveau, tout comme moi, mais il attirait l’attention, trop d’ailleurs, trop à mon gout, et en lettres, il était dans la même classe que moi. Son nom ? Stefan Salvatore… J’arrivai en première dans la salle de classe comme à chaque fois. Rester dans les couloirs plein d’élève n’était pas pour moi et en vue de mon état, une minute de répit n’était pas de refus. Les autres ne tardèrent ensuite pas à entrer un à un, mais quand Stefan rentra, je crus que mon cœur allait sortir de ma poitrine. Toute les filles, toute sans exception dans cette salle, était en admiration devant lui, et moi, je ressentais tout… Le pire ? Il vint s’asseoir à coté de moi, plus calme que jamais…

Voilà comment je me retrouvais dans une situation impossible en cours. Pendant deux heures, je fus incapable de pensait à ce qui se passait dans la salle. Je voulais Stefan, et je vous le passais le détail sur mes envies, car les filles avait beaucoup d’imagination ici. Mais n’était qu’une humaine avant tout, je n’étais pas faite pour encaisser autant de réaction d’hormone à la fois. Remarqua-t-il le nombre de fois où je me mordis là lèvres pour ne pas poser ma main sur lui. Et encore, c’était une pensée gentille… Je dus faire tout les efforts du monde pour ne pas le regarder pendant le cours, ne voulant qu’une chose, que les quinze minutes qui restées passent le plus vite possible. Je ne me souvenais même pas si le professeur m’avait interrogé ou pas pendant la leçon, mais quand la fin du cours sonna, je ne bougeai pas, attendant que tous partent. Je dus rester immobile trois minutes, et je n’entendais plus de bruit, même si je ressentais toujours la même chose encore. Alors, je me levis et je tournis la tête. Pourquoi était-il encore là ? Pourquoi n’était il pas partie en premier comme à chaque fois ? Alors, je ne tenu plus. Sans rien dire, ne lâchant pas son regard, je le rejoignis pour l’embrasser.

Le baiser ne dura pas longtemps, car très vite, je retrouvais mes esprits, ou plutôt mes sentiments, en laissant place néanmoins à une grande surprise, celle de Stefan… C’était la première fois qu’il faisait preuve d’un grand sentiment dans la même pièce que mois, mais peut importe… Je reculai de lui, lui rendant son regard comme un miroir avant de fondre en larmes…

EVER-Je… désolée…

Mes pas me menèrent contre le mur où je glissai pour m’asseoir à terre, en pleure et honteuse. Je n’étais qu’un monstre… Je venais de l’embrasser… Comment pourrais-je même le regarder en face après ça. Je craquai alors littéralement, mes émotions pour une fois reprenant le dessus au grand galop. Stefan, toujours silencieux, fit un pas vers moi mes je levis la main pour me stopper.

EVER-Non ne t’approche pas…

J’étais fatiguée, fatiguée d’éprouver ce qui n’était pas de moi, et je ne voulais pas ressentir ce qu’il éprouvait alors…
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MessageSujet: Re: Faites que ça s'arrête| pv Stefan   Faites que ça s'arrête| pv Stefan Icon_minitimeMar 15 Déc - 22:34

La semaine de la rentrée s’était enfuie à une vitesse affolante, même pour moi qui ne faisais plus réellement attention au temps. Après tout, j’avais mon éternité. Pendant une certaine période, j’avais perdu la notion des jours qui s’écoulaient. Désormais, il me fallait prendre plus d’attention. Aussi je pouvais compter sur le fait qu’aujourd’hui nous étions jeudi. Quatre jours après la rentrée officielle des lycéens de Fell’s Church. Je m’en sortais relativement bien. J’aurai cru avoir plus de difficultés à me mêler à la foule, mais contrairement à mes attentes, ce ne fut pas le cas. Certes, mon physique de tentateur n’était pas passe-partout et c’était bien limite si certaines me suivais jusqu’aux toilettes. J’aurai pu m’en offusquer. Mais je ne le faisais pas. Après tout, ce n’était que des adolescentes aux hormones en ébullition :red.

Ma rencontre avec Elena s’était passé merveilleusement bien. Encore mieux que je ne me l’étais prédit. L’état des choses m’avait bien aidé. Si elle avait été le genre de fille à s’intéresser aux autres comme à l’an quarante, les choses auraient été nettement plus difficiles. Pour une fois, la force semblait être avec moi. Et je n’allais pas m’en plaindre. Autant en profiter tant qu’elle est là.

J’avais passée une bonne partie de la nuit, insensible au sommeil, à rédiger bon nombre de mes pensées et impressions dans mon journal.. Je n’avais jamais craint qu’il tombe en de mauvaises mains. Après tout, je laissais ma vie dans ma chambre. Et qui oserait y entrer ? J’eus une pensée pour mon frère. Évidemment que lui n’hésiterai pas à venir lire mes mémoires. Il les livraient même aux publics, si cela ne l’avait pas à moitié concerné. Mais je comptais sur le fait qu’il ne prenne pas la peine de se dire qu’il en avait le temps. Même s’il en possédait énormément. Mes paroles l’ennuyaient suffisamment pour que j’espère que mes écrits aient les mêmes propriétés.

Quand j’arrivais tranquillement au lycée, je me rendis une nouvelle fois compte que j’étais la cible de nombreux regards. Ce jour, j’avais essayé de ne pas enfiler quelques choses de trop… un simple tee shirt noir à manches longues, certes légèrement collant, ne pouvait pas être source de fantasmes tout de même ? J’avais quelques difficultés à me rendre compte des effets que je produisais sur mon entourage. Il allait falloir que je mesure ceci à l’avenir, afin d’éviter les accidents. Une agression à la sortie des vestiaires par exemple :red. Et ce n’était pas spécialement pour moi que je m’inquiétais, bien plus pour la jeune femme qui aurait le courage ou plutôt l’inconscience de me sauter dessus. Ma matinée se passa sans grande encombre. À la cafeteria, je m’efforçais de manger quelques petits bouts ci et là, mais en voyant arriver une horde de jeunes femmes vers moi, je prétexta un devoir à finir. Bien que ne parvins pas à me souvenir si oui ou non nous en avions eu pour cet après-midi.

J’avais enfin réussi à mémoriser mon emploi du temps et les itinéraires les plus courts pour se rendre dans la salle d’études. Je n’avais plus besoin de sortir cette maudite feuille d’horaire à chaque fin d’heures comme quelques jours plus tôt. Il fallait avouer aussi que j’avais des facilités à mémoriser les choses. N’avais-je pas toutes mes nuits pour cela ? Je me dirigeais vers ma salle de français de ma démarche involontairement féline. Je ne pouvais pas ordonner à ma voix de ne pas être séduisante, à mes yeux ne de pas être envoutants, à mon corps de ne pas attirer, encore moins à ma façon de marcher d’être moins prédatrice. C’était une façon d’être. J’aurai tout autant pu tenter de me scier le bras avec un coton tige que cela n’aurait eu meilleur effet. Heureusement, je m’habituais de mieux en mieux à l’attirance que j’exerçais sur la gente féminine. Il m’était bien plus facile de les ignorer en me concentrant sur autre chose. Sur le cours par exemple. Lorsque je passa le seuil, je levai ma tête droite, fixant un point fictif face à moi. Je l’abandonnai un instant, jetant un regard vif et circulaire à la salle et finit par découvrir un pupitre libre à la troisième rangée. Je passa entre deux rangées, captant de mon ouïe développée quelques soupirs « d’ extase ». Je posa ma main sur le plat de ma table et contourna le pupitre en m’asseyant. Je posais ma besace au sol et jetait un rapide coup d’œil à ma voisine. Elle semblait ne pas me voir. Ou plutôt essayer de ne pas me fixer comme le reste des dames de la salle. Elle semblait aussi… braquer. Sur elle-même s’entends. Je plaignis le pauvre Bic dans sa main qui souffrait de la pression de ses doigts. Je tenta de la mettre plus à l’aise, en évitant de la regarder, et en sortant mes affaires. Elle ne prononça pas le moindre mot durant l’heure. Aussi muette qu’une carpe. Au moins, elle ne me dérangeais pas sans arrêt pour avoir mon numéro de téléphone ( j’avais subit cette expérience en cours de mathématiques et n’étais pas spécialement prêt à retenter les instants ). Je me concentrais sur l’œuvre que nous étudiions, Hamlet de Shakespeare. Je l’avais déjà lu, maintes fois par le passé. Mais je n’avais aucune réticence à l’étudier de nouveau. De toutes manières, il ne me semblait pas que j’eusse le choix. Je sentais par moment, les lèvres de ma voisine se faire écraser par sa dentition, je l’entendais parfois haleter puis se reprendre. Je n’arrivais pas vraiment à la cerner, ni à comprendre ce qui lui prenait. Avais-je fais quelques choses qui n’était pas à faire ? La sonnerie de fin d’heure me retira le loisir de me faire mes propres hypothèses sur l’étrange comportement de la jeune femme. Je pris le temps de noter de mon harmonieuse écriture, les devoirs pour le prochain cours, avant de fourrer mes affaires dans mon sac. Je pris touuut mon temps. Je préférais attendre que mon fan club personnel soit déjà parti avant de me risquer à sortir de cette pièce. J’étais encore assis à ma place. Le professeur ayant finit son heure, était sortit. Il avait apparemment, une bonne heure de pause. Un trou dans son emploi du temps, comme beaucoup en avait. Estimant le temps passé, je m’accorda de penser que personne ne m’attendrais à la sortie cette fois-ci. Je me penchais pour récupérer ma besace lorsque très soudainement mes lèvres furent occupées. Cela était arriver de manière si inattendue que je ne m’en étais pas vraiment rendu compte. Je sentis très brusquement ma gorge s’enflammée. Comme si l’on m’avait enfoncé dans la gorge une barre de fer chauffée à blanc. Je sentis un désir violent me submergé, la soif. Mes prunelles virèrent rapidement aux ténèbres et.. La jeune femme se recula brusquement. Et je me détournais presque tout aussi brusquement. Je n’aimais pas que l’on me vois ainsi. Je sentis mes lèvres tremblées l’une contre l’autre un instant et lorsque je me sentis reprendre mes moyens, je me retournai vers ma voisine. Je la fixai avec surprise attendant qu’elle s’explique. Avais-je devant moi mon inconsciente ?

EVER-Je… désolée…

Je fronçai les sourcils. Je l’a vis aller vers le mur à reculons. Comme si je l’avais effrayée. Avait-elle vu mes yeux ? Pourquoi s’excuserait-elle dans ce cas ci. Ma surprise laissait place à de l’incompréhension jusqu’ à ce que je la vis glisser le long du mur, des larmes ruisselants le long de ses joues. J’esquissais un pas vers elle pour la consolée, sur les raisons de ses pleurs même si pour l’instant j’en ignorai les causes. Un impératif de sa part me figea sur place. Elle ne désirais pas que je l’approche. Ignorant sa volonté je vins m’agenouiller auprès d’elle. Je dégageais du doigt une mèche de ses cheveux qui était tombé sur son visage, essayant de la calmer :

« Hé chuut calme toi. Respire. Ce n‘est rien » tentais-je de l’apaiser d’une voix douce de ténor « Que t‘arrive t‘-il ? Je ne vais pas te disputer pour un simple baiser volé »

* bien qu’il est faillit la mener à la mort * songeai-je sombrement. Je lui adressais une mine attentionnée. Je ne désirais pas qu'elle craque pour cela, si je ne me trompais pas de problème...
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